Laurence Bibot en quelques expériences clés.

1989 à 93:

Elle fait les beaux soirs de la Ligue d'Impro dont elle sera la jouteuse la plus étoilée.

1990 à 93:

Les Snuls pour lesquels elle incarne la pulpeuse et drolatique Miss Bricola. Celle-là même que personne n'entendit émettre le moindre son, mais qui, par sa mine ahurie et ses grands gestes maladroits, fit craquer plusieurs milliers de spectateurs, voire fantasmer quelques uns.

1991 à 94:

"La Velue", écrite en collaboration avec Mireille Verbommen, qui raconte les mésaventures tragi-comiques de Cora, une gentille aide-soignante aux rêves de midinette. Son premier solo, où elle donnait le meilleurs d'elle-même et où la presse lui reconnut un talent égal, voire supérieur à ses consoeurs françaises les plus célèbres.

1993 à 94:

"Coups Bas", une pièce d'Albert Maizel où, en compagnie de Nathalie Uffner, Soda, puis Francine Laffineuse, Laurence Bibot dégageait un formidable capital de sympathie et faisait littéralement craquer le public de rire.

1995 à 96:

"Jaadtoly" ou, pour les initiés, "J'Aime Autant de T'Ouvrir Les Yeux" où elle donne la réplique à Stéfan Liberski et Frédéric Janin, au gré de saynètes absurdes, drôles et décapantes.

Jusqu'au 25/5/96:

"Bravo Martine", écrit par Laurence Bibot qui campe tous les personnages. Son deuxième solo, histoire de se souvenir que, quand on a treize ans, la vie n'est pas facile, mais alors là, pas facile du tout. (Voir la rubrique Conseils et Références).